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Contre les murs

Livre d’or

Voici quelques messages laissés sur le livre d’or proposé à la fin des projections.

" Le film donne à comprendre et à ressentir ce que les personnes « sans papiers » vivent, , il s’agit de personnes comme nous. On parle de principes, de règles, on est dans la compréhension du système et des personnes, la dénonciation du système, cela force le respect. C’est une réflexion sur l’humanité "

" Merci pour ce film qui ose aller là où ça fait le plus de sens, et avec force. "

" Il n’y a pas d’étranger sur cette terre. "

" Merci pour ce beau film sur un sujet si difficile. Très beau titre qui laisse supposer que les murs sont multiples, ils sont tous si durs à faire tomber. "

" Film très objectif... Bravo pour votre combat... "

" Merci pour les mobilisations que ces témoignages peuvent encourager. "

" Merci pour cet appel à plus d’humanité. "

" Espérons que ce documentaire fera avancer les consciences. "

" Votre engagement, votre efficacité donne du courage et de l’espoir en l’humanité. "

" Film utile, à poursuivre, on le dira ! "

" Le film est magnifique d’engagement, de construction, d’images. J’ai particulièrement aimé les horizontales, les parallèles qui ne se croisent pas, les ciels, les fils, les visages dans l’ombre. "

" Un film superbe et édifiant que je m’engage à faire connaître. Bravo. Merci pour ce très beau film qui porte haut et clair la cause des sans papiers, le travail des avocats, association et donne parole aux victimes. A diffuser très largement. "

" On est dans la compréhension du système et des personnes, la dénonciation du système, cela force le respect en nous faisant comprendre ce qu’elles vivent. "

" Tu as fait un très bon travail sur une Grande cause !!! Bravo !!! "

" En cette période dans la tourmente, politique, économique, sociale et j’en passe... ton travail courageux qui donne à voir l’invisible ou en tout cas ce que peu de gens veulent voir ou entendre mérite notre estime. Ta grande capacité d’écoute et ta capacité à donner la parole à ceux qui ne l’ont jamais font que tes documentaires forcent le respect. Merci pour tout cela. "

" Bravo pour cette réalisation remarquable, concrète, interpelante. A faire connaître sans modération ! "

" Belle réalisation, à nous de contribuer à le faire connaître. "

" Merci pour ce film, merci à tous ceux qui vous accompagnent dans cette quête d’humanité, de justice, toujours et toujours. Ce soir, je suis bouleversé, révolté. "

" ... Des personnes qui comme vous lèvent le voile, interpellent, font réagir ? J’espère, un engagement communicatif, la défense du plus précieux de nous-mêmes : notre humanité. "

" Documentaire splendide par sa réalisation et son contenu alarmant. La présence et la parole des intervenants et des personnes engagées participant au débat à été un temps de grande émotion. "

" Quelle force ! Merci. "

" Merci pour ce film fort, émouvant, beau et surtout nécessaire. Continuons le combat. "

" Merci pour la beauté et l’humanité de votre regard. "

" Merci pour ce travail d’information précieuse sur une triste réalité qui nous déshonore. Merci de nous ouvrir les yeux. "

" Merci pour ce film qui m’a éclairé sur la situation insupportable réservée aux émigrés en situation "irrégulière". J’en suis sidéré et pour tout dire révolté de comprendre tout à coup qu’on est trahi par les apparences d’un pays qui va bien et accueille... "

" En espérant large diffusion de cette information essentielle pour lutter contra la xénophobie. "

" Même si on est touchée, déjà engagée, on en apprend encore et encore remuée. "

" Merci beaucoup pour toutes ces informations. J’ai vécu un grand moment d’émotion. Je suis admirative devant votre courage, votre engagement, votre travail si essentiel à tout "citoyen" que nous sommes. "

" Merci parce que l’étrange est en nous, tout autant que le chemin pour apprendre à l’aimer. "

" Respecter l’homme, tout homme, ce film peut y aider "

" Saint Saint-Exupéry disait : "C’est parce que tu es différent que tu m’apportes". Les politiques devraient un peu relire les classiques. Bravo pour le film. "

" Merci, j’espère que tous ceux qui verront Contre les murs viendront rejoindre les pionniers qui espèrent la fermeture de tous les centres de rétention. "

" Merci pour ce film qui nous donne un outil efficace et beau pour continuer à informer envers et contre tout. Y a encore du boulot, mais je me sens plus fort. "

" Merci de ce témoignage cinématographique si bien réalisé, mais surtout très sensible et qui nous ouvre le regard et le cœur. "

" La musique la plus importante de ce documentaire se trouve dans le bruit de fons, les avions, les voitures, les cris intérieurs... J’ai été heureux d’y participer, et d’avoir aujourd’hui un regard différent sur ce sujet "

" Merci pour cette prise de conscience d’une réalité trop cachée. Et maintenant, que faire ? Je cherche "

" Étranger-e à nous-même nous percevons l’autre comme l’inconnu, derrière l’horizon. "

" Touchant, à méditer, à en parler autour de moi... et peut-être donner moi aussi un coup de main. Bravo à tous et merci. "

" C’est dur mais stimulant. Merci pour ce film, nous le diffuserons. "

" Merci pour la description exacte que les gens ne connaissent pas. Il faut vraiment s’unir dans les collectifs et autres (cercles, etc.) car on se sent très démuni devant la multiplicité de problèmes. Continuons avec solidarité. Merci, vous me donnez envie d’en "faire" un peu plus de mon côté. Continuez. "

" Merci de nous stimuler pour combattre ces injustices et cette inhumanité. "

" Continuez à faire savoir ce qui heurte nos consciences et celles de millions de Français. Merci. "

Un mot reçu par mail
" J’ai trouvé le film très intéressant, très inquiétant. J’y passe devant entre 2 et 4 fois par jour ; je croise des gens sur le bord de la route, je me demande où ils vont et comment quand je les vois sortir, et quand ils y entrent qui ils vont voir et pourquoi ils sont là, je ne savais pas que l’on pouvait y rester jusqu’à 45 jours. Je trouve que le Maire de Cornebarrieu, qui disait dans le film que cela lui a été imposé, pourrait au moins sécuriser le passage de l’espace où les gens se garent à l’arrêt de bus, qui se trouve là maintenant, au CRA. Il y aura un accident un jour ou un autre. Je vois aussi des personnes à l’entrée de la maison d’en face, je me demande ce qu’en pensent ces voisins,. Je trouve que le secret qui entoure ce genre d’endroit ne devrait pas exister, merci de lever le voile. Mais à moins que j’ai manqué une explication dans le film, je ne comprends toujours pas où la police prend toutes ses personnes – ils viennent d’arriver à l’aéroport ? Ils ont été pris dans la rue ? Désolée de ne pas avoir pu rester au coin du feu pour discuter. Merci, bon courage pour la suite. "

A propos de « Contre les murs » de Neus Viala

Stéphane Hessel écrivait « Indignez-vous ». Neus Viala nous le dit par l’image et on en garde la trace. Au fil de ses documentaires, « andando despasito », cheminant pas à pas, franchissant des frontières, on se laisse porter par le « forte » des sujets abordés. La portée est à portée de main. Les notes viennent s’y poser et s’y accrocher comme des points d’interrogation. La mélodie s’impose toujours dans la discrétion comme le ferait le flou d’un fond d’écran. Dans le documentaire « Contre les murs » les touches blanches et noires du piano se faufilent entre le bruit des voitures et le vacarme des avions qui décollent. Les notes s’accrochent désespérément à la clé « du » sol, aux couleurs harmoniques de nos racines, aux accords de nos mélodies intérieures. On est pris comme dans une grille de jazz où l’improvisation devient difficile. Pourtant des lignes musicales sont toujours possibles, le morceau n’est jamais terminé... Souvent les témoignages se suffisent à eux-mêmes. Dans un bruyant silence, les ombres chinoises éclairent nos consciences. Après le film « Manuel Azaňa, une vie pour la République », Neus Viala m’a fait confiance à nouveau pour la musique de ce documentaire. Je ne sais pas si ma façon de jouer à changé, ce dont je suis sûr c’est que « Contre les murs » a modifié ma façon de penser... Jean-Pierre FOLCH avril 2013


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